Sagesse en moi

 
 
 

N’AI PAS RENCONTRÉ LA TENDRESSE. LE SOUFFLE COUPÉ M’A DÉSARÇONNÉE QUAND CE GARÇON A DISPARU. AU GALOP SUIS REPARTIE. FAIT DES CENTAINES DE KILOMÈTRES POUR TROUVER UNE RAISON DE VIVRE.

AU COURS D’UNE SOIRÉE POÉSIE, LA LECTURE DU POÈME LA FEMME DU TRAIN A FAIT JAILLIR DANS MA MÉMOIRE DES SOUVENIRS.

AI DIT AU POÈTE PRÉSENT, ALEXANDRE FOURRIER : « C’EST MOI LA FEMME DU TRAIN, MERCI DE M’AVOIR AUSSI BIEN DÉCRITE DANS CETTE SOLITUDE ET CETTE TRISTESSE POIGNANTES ! »

APRÈS CETTE RENCONTRE OPPORTUNE QUI A REVIVIFIÉ MA VIE, SUIS REPARTIE VERS UN CALME ASSURÉ. VIVRE DES RENCONTRES ANIMÉES, JOYEUSES, VIVANTES, CHANTANTES, THÉÂTRALES, TRÈS PRENANTES. SAGESSE RIEUSE, TENDRE. CŒUR REMPLI DE SUCRE LENT.

PLUS TARD, J’ENDOSSAIS SUR LES PLANCHES AVEC LE POÈTE LE RÔLE D’INFIRMIÈRE RACONTANT SA GUERRE SOUFFRANTE, L’AIDE À L’AUTRE DANS LE QUOTIDIEN À TRAVERS LE DRAME DE LA COMMUNE DE PARIS ET DE L’HÔPITAL LARIBOISIÈRE.

PLUS TARD, LA MORT DU POÈTE. APRÈS QUE NOUS SOYONS ALLÉS VISITER SA MAYENNE POUR Y ÉPROUVER LA TENDRESSE D’UNE FIN DE VIE VIVIFIANTE.

PLUS TARD, SOLITUDE RÉACTUALISÉE. REBONDIR VERS UNE ÉCRITURE CINÉMATOGRAPHIQUE. UN FILM DE COMÉDIE MUSICALE : À NOTRE ÂGE.

L’AMOUR EST LÀ QUI ATTEND !
 
 
 

OR.